Pour son premier Met Gala, Omar Sy avait une autre préoccupation que son look
PEOPLE – Kim Kardashian, Zendaya, Madonna, Rihanna (et son baby bump), mais aussi Omar Sy. Oui, Omar Sy. Ce lundi 5 mai, l’acteur français de 47 ans a foulé pour la première fois les marches du plus mondain des dîners caritatifs new-yorkais : le Met Gala, événement people incontournable organisé par Anna Wintour.
« On se sent bien. C’est une belle fête qui commence », a soufflé le comédien originaire de Trappes aux journalistes aux abords du tapis rouge à son arrivée à la réception. Le sourire jusqu’aux oreilles, il partage sa préoccupation du moment : « On va voir ce qu’on mange. C’est un dîner, hein ! C’est long la queue, là. » Un grand éclat de rire et puis s’en va, comme vous pouvez le voir dans la vidéo de BFMTV un peu plus bas.
Le menu préparé par le chef Kwame Onwuachi lui a-t-il plu ? Bonne question. Il était composé en entrée d’une salade de papaye piri piri et de concombres arrosés d’une marinade d’assaisonnement vert caribéen, puis d’un poulet rôti à la créole avec une émulsion de citron et du riz en guise de plat, d’après Vogue.
Un dîner à 75 000 dollars le billet d’entrée auquel Omar Sy est venu dans un costume vert bouteille à motifs géométriques, assorti à une chemise jaune. Un ensemble pensé par le créateur britannique Ozwald Boateng, que certains – comme le magazine GQ – disent être dans la lignée des sapeurs, ces adeptes de la Société des ambianceurs et des personnes élégantes (SAPE), un courant vestimentaire originaire de la République démocratique du Congo connu pour ses costumes cintrés aux couleurs chatoyantes.
Guillaume Diop, présent aussi
Contrairement à beaucoup d’autres célébrités, Omar Sy a strictement respecté le dress code de cette édition du gala : « Tailored for You » (« Taillé sur mesure », en français). Il a été pensé par la papesse de la mode en collaboration avec le patron du Costume Institute, aile du Metropolitan Museum of Art où s’ouvre, ce samedi, une nouvelle exposition.
Cette exposition s’intitule Superfine : Tailoring Black Style (Sophistication : l’importance du costume dans le style des noirs, en français), et promet de revenir sur la manière dont les hommes noirs et les descendants d’esclaves ont utilisé les vêtements et les codes dits européens comme un moyen politique et stylistique d’émancipation.
La star de Lupin n’était toutefois pas le seul ressortissant français invité cette année. Le danseur étoile Guillaume Diop était lui aussi de la partie, dans un costume romantique en soie brodé Valentino aux airs de boubou. En revanche, ni Léna Situations ni Aya Nakamura n’ont été cette fois-ci conviées. Pas même Isabelle Huppert.
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