Divertissement

Le sortant de « Top Chef » s’avoue « agacé » de « ne pas savoir pourquoi » il a échoué

TÉLÉVISION – L’épreuve mythique de Top Chef a fait son retour ! Dans l’épisode de Top Chef 2025 du mercredi 21 mai, les téléspectateurs on assisté à la mythique Guerre des restos. Cette année, les 6 candidats encore en lice étaient répartis en trio : Claudio, Esteban et Margaux d’un côté, Charles, Charlie et Quentin de l’autre. Et une surprise de taille les attendait.

En effet, trois anciens de Top Chef se sont prêtés au jeu de cette épreuve qui apporte toujours son lot de rigolades et de déceptions. Norbert Tarayre, Matthias Marc et Mallory Gabsi sont arrivés avec un objectif en tête, terminer premiers. Et ils y sont parvenus, envoyant ainsi tous les candidats de la saison 16 en épreuve éliminatoire.

Ces derniers ont dû réaliser une entrée froide avec un panier imposé. Après une dégustation par les chefs de brigade, c’est Claudio Semedo Borges qui a rendu ses manchettes bleues. Le candidat de Philippe Etchebest pouvait revenir avec les brigades cachées. Malheureusement pour lui, son millefeuille ne lui a pas permis de réintégrer le concours. Après son élimination, il a accepté de répondre à quelques questions posées par Le HuffPost:

Le HuffPost : En participant à Top Chef, quelles étaient vos motivations ? 

Claudio Semedo Borges : Je voulais sortir de ma zone de confort et partir à l’aventure. Quand j’ai entendu l’objectif de cette année avec l’étoile à la clé, je me suis dit que c’était un vrai bonus.

Comment avez-vous réagi en voyant Norbert Tarayre, avec qui vous avez travaillé, débarquer dans la Guerre des Restos ?

C’était une grosse surprise, je ne m’y attendais pas du tout. J’ai trouvé ça chouette de pouvoir me mesurer à lui, parce qu’on se connaît bien.

Vous faites équipe avec Esteban et Margaux. Que pensez-vous de votre trio ? 

J’étais très content d’être avec Margaux et Esteban, car ce sont deux candidats que j’admire et avec qui je m’entends à la perfection. Mais il faut être honnête, on n’était pas le trio favori. Les chouchous de la saison, Charlie et Quentin étaient face à nous. Quand on s’est retrouvés tous les trois dans cette cuisine, on s’est dit qu’il fallait ouvrir notre restaurant pour prouver qu’on était bien présents.

Qu’est-ce qui vous a paru le plus simple et à l’inverse, le plus compliqué ?

Le plus kiffant, c’est le timing. Devoir tout gérer, que ce soit le menu, le concept et les courses, avec un budget très serré. C’était difficile pour moi de choisir les meubles, car on se demande si on va trouver ce qu’on recherche et si ça va plaire aux deux autres personnes. C’est une grosse responsabilité de choisir seul. Mais le plus dur dans la guerre des restos, c’est de ne pas ouvrir notre restaurant et pour nous, ça a été la douche froide. Je pense qu’il aurait fallu qu’on se lâche plus. Il fallait rentrer dans cet univers, aller au bout de nos idées et ne pas rester sur la réserve. La guerre des restos est faite pour ça.

Comprenez-vous votre élimination ? 

Je n’ai jamais été en danger, tout se passait très bien et je pensais vraiment que mon assiette était gagnante. Ce qui m’a le plus agacé, c’est de ne pas savoir pourquoi j’ai échoué. Est-ce que mon assiette manquait de créativité ? D’originalité ? Est-ce que c’est l’assaisonnement qui n’allait pas ? Aujourd’hui, je me pose encore des questions sur ce que j’aurais pu améliorer. Malgré tout, je garde le sourire, car j’ai vécu une très belle aventure.

Malgré l’existence de la brigade cachée, vous n’avez pas eu l’opportunité de continuer ?

L’important pour moi, c’était de réintégrer le concours. Mon grand regret, c’est de ne pas avoir réussi à saisir cette seconde chance. Je pensais avoir tout donné, mais peut-être qu’il en fallait encore plus.

De toutes les épreuves, laquelle restera votre préférée ? 

Je les ai toutes adorées, mais c’est vrai que la première avec les inspecteurs était impressionnante. On prend une claque en les voyant déguster notre assiette et entendre leurs commentaires. C’est quelque chose d’unique.

Que retenez-vous de votre parcours ? 

J’ai réussi à montrer ce que je voulais aux gens à savoir la technicité et la joie de vivre. Je retiens aussi qu’il faut que je me lâche et que tout est possible. Aujourd’hui, j’ai davantage les pieds sur terre et je suis beaucoup plus sûr de moi.

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