« Freddie Mercury était mon père » : une biographie avance l’existence d’une fille cachée
MUSIQUE – « Une biographie qui fait l’effet d’une bombe ». Un nouveau livre sur Freddie Mercury, qui sortira en septembre, révèle l’existence d’une « fille secrète » du chanteur de Queen, restée cachée pendant près d’un demi-siècle. D’après le journal britannique The Daily Mail qui a sorti l’information le vendredi 23 mai, cette femme aujourd’hui âgée de 48 ans était très proche de son père.
Dans sa biographie Love, Freddie, la spécialiste du rock Lesley-Ann Jones raconte que cette enfant est née en 1976, un an après le succès de Bohemian Rhapsody, d’une liaison extra-conjugale de Freddie Mercury avec l’épouse d’un de ses meilleurs amis. Seuls les proches du chanteur avaient connaissance de son existence, comme ses parents, sa sœur, le reste du groupe Queen et Mary Austin, la seule femme qui a partagé sa vie.
L’identité de cette fille cachée n’est pas révélée dans le livre qui la présente comme « B. » et précise qu’elle vit en Europe où elle travaille dans le secteur de la santé. La quadragénaire s’est elle-même manifestée auprès de la biographe pour « rétablir la vérité ». Elle lui a aussi confié avoir été « élevée dans une famille aimante » et avoir été fréquemment visitée par Freddie Mercury.
« J’ai décidé de révéler mon existence, je n’y ai pas été contrainte »
« Nous avons eu une relation très fusionnelle et très aimante de ma naissance à sa mort 15 ans plus tard », assure-t-elle dans une lettre manuscrite citée dans la biographie. Si B. a conscience d’être née dans des conditions « scandaleuses », elle maintient que le chanteur de Queen l’« adorait » et « était très attentionné ». « Freddie Mercury était et il est mon père », a-t-elle insisté.
Dans sa lettre, la femme de 48 ans qui dit être en possession des journaux intimes du chanteur explique avoir voulu mettre fin à « plus de trois décennies de mensonges, de théories foireuses et de falsifications ». « Il est temps de laisser Freddie s’exprimer », écrit-elle dans sa lettre où elle salue la « loyauté » de « ceux qui connaissaient [son] existence et ont gardé le secret ». « C’est moi qui ai décidé de révéler mon existence, je n’ai pas été contrainte de le faire », ajoute-t-elle.
De son côté, la biographie Lesley-Ann Jones assure qu’elle a traité cette révélation avec beaucoup de prudence. « Mon instinct m’a dit de me méfier, mais je ne crois pas qu’elle affabule », a-t-elle expliqué au Daily Mail, estimant que « personne n’aurait pu trafiquer tout ça ».
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