Édouard Philippe, un navire… Les sacrés paris tatouage de l’équipe du « Comte de Monte-Cristo »
CINÉMA – Promesse tenue. Si l’on savait que Pierre Niney avait prévu de se faire tatouer en cas de succès en salle de la nouvelle adaptation du Comte de Monte-Cristo, dans lequel il incarne l’iconique Edmond Dantès, le producteur du film a révélé de nouveaux détails sur cette fameuse histoire de pari au sein de l’équipe du film.
Blockbuster à la française, inspiré du roman d’Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo est un véritable succès dans les salles obscures françaises et comptabilise plus de « 7,7 millions » d’entrées depuis sa sortie le 28 juin, comme l’a dévoilé le producteur du film Dimitri Rassam.
Invité de l’émission C à Vous sur France 5, ce mardi 3 septembre, il est logiquement revenu sur la réussite de son film, réalisé par Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte. Il en a d’ailleurs profité pour glisser quelques informations inattendues sur les conséquences de ce succès au box-office.
« Pierre Niney avait promis de se tatouer à partir de 3,5 millions d’entrées, il l’a fait ? », demande d’emblée l’animatrice Anne-Élisabeth Lemoine. « Il ne l’a pas encore fait, mais on a tous, dans un moment d’abandon, fait une série de paris tatouage, qu’on va tous devoir honorer », glisse alors Dimitri Rassam.
Pari osé, mais pari tenu
Bref rappel des faits. Le 1er juillet dernier, Pierre Niney indiquait sur Instagram qu’il avait « promis à l’équipe de Monte-Cristo de faire un tatouage du film si le cap des 3,5 millions d’entrées » était dépassé. Avant d’ajouter dans une nouvelle publication qu’il pensait aux initiales « MC » sur le torse, tout en ajoutant avec humour avoir « peur que Marion Cotillard pose une main courante ».
Ce cap symbolique ayant été largement dépassé autour du 13 juillet, Pierre Niney est désormais attendu au tournant, alors que le motif exact de son tatouage demeure un mystère. Pour autant, certains n’ont pas attendu aussi longtemps que l’acteur français pour honorer leur parole. Avec des idées pour le moins surprenantes.
Comme le révèle Dimitri Rassam, c’est « à partir de 5 millions » d’entrées que leur pari devait être respecté. S’agit-il de tatouages « embarrassants » questionne alors la présentatrice, piquée par la curiosité. « Ça dépend pour qui, répond le producteur français, Patrick Mille (qui incarne le baron Danglars dans le film) avait fait deux paris, et il les a honorés ».
« Le premier est un navire… et le deuxième c’est Édouard Philippe », lâche-t-il, avant de préciser qu’il ne s’agit pas d’une blague. « Il s’est tatoué Édouard Philippe dans le dos… On s’est demandé ce qu’il y avait de plus absurde, on a mis un chiffre très élevé (au box-office) et il l’a fait », raconte-t-il avec malice.
Quant à lui, il a opté pour « un acronyme du groupe WhatsApp » qu’il partage depuis plusieurs années maintenant avec les deux réalisateurs du film, avec qui il collaborait déjà sur Le Prénom en 2012. Un acronyme de leurs initiales qui donne « MAD » (« fou », dans la langue de Dumas) pour la première lettre de leurs prénoms respectifs : Matthieu, Alexandre et Dimitri.
Un pari un peu fou, qui s’explique assez simplement pour celui qui a déjà produit Les Trois Mousquetaires D’Artagnan et Milady ces dernières années. « J’avais besoin que ce film rencontre, au-delà des chiffres, cet accueil-là. Je ne sais pas ce que j’aurais fait si ça n’avait pas été le cas », confie-t-il. Avant d’admettre avoir vécu une « vraie fébrilité » à l’idée de sortir le film. « Professionnellement parlant, c’était un rendez-vous pour nous tous » finit-il par conclure.
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