La meilleure série Star Wars est de retour et va « redéfinir » votre vision de ce film de la franchise
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SÉRIES TÉLÉ – Trois ans après sa première saison, Andor est de retour sur Disney+ ce mercredi 23 avril. Créée par Tony Gilroy (scénariste des Jason Bourne), cette série mêlant science-fiction, espionnage, action et drame suit les aventures du pilote Cassian Andor, cinq ans avant son ultime mission pour la rébellion consistant à voler les plans de l’Étoile de la mort. Nommée trois fois aux Emmy Awards de 2023, la saison 1 a aussi permis à Diego Luna de décrocher sa première nomination aux Golden Globes.
Plébiscitée par les fans, elle s’est vite imposée comme l’une des, si ce n’est la meilleure série de l’univers Star Wars. Elle sert aussi de préquelle à Rogue One (2016), l’un des films dérivé les plus appréciés du public, qui devance – dans la chronologie – de quelques instants seulement le premier opus de la franchise sorti en 1977. Cette seconde saison promet justement de « redéfinir » le film qu’elle précède selon Diego Luna, présent aux côtés de sa partenaire d’écran Adria Ajorna, lors d’une interview pour Le HuffPost à voir dans la vidéo en tête d’article.
La série reprend après les événements de la fin de la saison 1, soit quatre ans avant l’intrigue de Rogue One. Les douze épisodes de cette seconde (et dernière) saison sont mis en ligne à raison de trois par semaine, chaque salve se déroulant sur un an, ce qui amène la dernière à se tenir juste avant le début du film de 2016.
Et le moins que l’on puisse dire c’est que les personnages vont beaucoup évoluer pendant ce laps de temps. À commencer par Cassian Andor, qui a définitivement rejoint le groupe de rebelles mené par le froid et pragmatique Luthen, ici incarné par Stellan Skarsgard, grand habitué des sagas au cinéma (Avengers, Pirates des Caraïbes, Dune).
Dans un milieu où l’erreur n’est pas permise, le pilote apprend peu à peu ce que cela signifie de se sacrifier pour une cause qui le dépasse. Mais en parallèle, il doit également trouver une raison de vivre pour aller de l’avant. « Derrière chaque révolution, il y a des pertes et de la douleur bien sûr, mais il doit y avoir de l’amour », assure ainsi Diego Luna en interview.
À ses côtés, son acolyte de toujours Bix Caleen. Leur relation, était volontairement floue dans la saison 1. « Il y a un lien de confiance entre eux. On ne sait pas s’ils sont amis, certains se demandent s’ils sont frère et sœur, ou s’ils sont liés d’une autre manière », nous concède son interprète Adria Ajorna. Même s’ils ne sont pas ensemble « physiquement » au début de cette saison 2, les deux exilés le sont « plus que jamais » dans leur cœur malgré de nouvelles pertes humaines et les épreuves difficiles auxquelles ils vont faire chacun face.
Une écriture en « indices », une histoire encore « plus intense »
Comme dans la première saison, la série développe une multitude de personnages en plus de Cassian et Bix. On retrouve le lunatique Shaw Guerrera, électron libre de la rébellion, toujours parfaitement incarné par Forest Whitaker, mais aussi la sénatrice Mon Mothma, jouée par Genevieve O’Reilly, qui s’implique de plus en plus profondément dans la cause en posant les premières pierres de ce que sera l’Alliance Rebelle.
Du côté de l’Empire, Dedra Mero (Denise Gough) et Syril Karn (Kyle Soller), deux soldats zélés précédemment introduits et désormais en couple, gravitent autour de la planète Ghorman, dont les matériaux locaux sont nécessaires à l’avancement de l’Étoile de la mort. Dans l’ombre, ils poussent une révolte populaire – inspirée de la résistance française – qui conduira à une répression et à un massacre bien connu des fans de l’univers Star Wars.
Les intrigues politiques et personnelles progressent d’année en année dans chacun des quatre chapitres de trois épisodes sans jamais prendre le téléspectateur par la main, quitte à être parfois difficile à suivre. Une initiative risquée, mais qui fait le charme de cette seconde saison. « C’est la beauté de cette structure temporelle, qui donne juste des indices pour vous permettre de construire l’histoire derrière, comme on a dû le faire en tant qu’acteurs », appuie Diego Luna.
Une mécanique qui permet également à Rogue One, dont est issu le personnage de Cassian, de gagner en densité. « On sait tous comment ça se termine. Ces personnages vont sacrifier leurs vies pour une cause. Mais maintenant on sait aussi ce que représente ce sacrifice, on connaît mieux les individus et leurs histoires. Cela le rend bien plus intense et plus significatif à regarder », conclut l’acteur phare de la série et du film de 2016.
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