Les Swifties ont tellement dansé qu’ils ont encore réveillé des capteurs de séisme
CONCERT – Si Taylor Swift et capable de mobiliser toute une génération, ses fans peuvent déplacer des montagnes, ou presque. Édimbourg et ses habitants ont accueilli la superstar américaine pour une série de trois dates du Eras Tour au Murrayfield Stadium du 7 au 9 juin. L’ambiance était tellement au rendez-vous que les 73 000 fans qui dansaient en rythme dans la capitale écossaise ont déclenché des capteurs sismiques.
Selon le British Geological Survey (BGS), l’organisme britannique qui surveille les activités sismiques du pays, les morceaux Shake it up ou Champagne ont particulièrement déchaîné le public. Des secousses ont été enregistrées par un capteur jusqu’à six kilomètres du stade. À chaque concert, le pic des ondes sismiques a été atteint durant la chanson… Ready For It ?.
Mieux que Beyoncé et Harry Styles
Ce n’est pas la première fois que la chanteuse et ses fans parviennent à secouer le sol. Selon une étude américaine de la Société sismologique d’Amérique et du magazine New Atlas qui détermine quel est l’artiste qui a provoqué le plus vibration c’est encore une fois Taylor Swift qui prend la première place. Le 22 juillet 2023 à Seattle, avec même un tremblement mesuré à 2,3 sur l’échelle de Richter a fait vibrer le nord-ouest des États-Unis.
D’après les donnés de l’organisme britannique, les Swifties ont déplacé le sol de 23,4 nanomètres lors de la première date, une distance que même des chanteurs comme Beyoncé, Harry Styles ou Bruce Springsteen ne sont pas parvenus à atteindre lors de leurs concerts. « La réputation de l’Écosse d’offrir les publics les plus enthousiastes reste intacte ! », déclare Callum Harrison, un sismologue du BGS.
La tournée de Taylor Swift fait maintenant un arrêt du côté de Liverpool du 13 au 15 juin. La chanteuse va remplir Anfield, l’enceinte du Liverpool FC qui est connue pour entretenir une atmosphère bouillonnante durant les matchs de football. Une occasion pour les Swifties anglais de prouver qu’ils peuvent faire aussi bien que les Écossais.
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