Philippine Leroy-Beaulieu a une bonne idée de spin-off d’« Emily in Paris »
SÉRIES TÉLÉ – Et pourquoi ne pas inverser les rôles ? L’actrice Philippine Leroy-Beaulieu était l’invitée de C à vous mercredi 25 septembre pour parler de la nouvelle saison d’Emily in Paris. Son personnage de Sylvie Grateau est tellement apprécié des fans de la série Netflix qu’Anne-Élisabeth Lemoine n’a pas pu s’empêcher de l’interroger sur un spin-off centré sur la directrice de l’agence de communication.
Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous, Philippine Leroy-Beaulieu aime beaucoup l’idée de la série dérivée et a même quelques pistes pour le nom. « J’adorerais, un spin-off ça serait très drôle. Je vois bien “Sylvie à New York” ou même “Sylvie à Las Vegas” », avoue-t-elle à la présentatrice de France 5. Mais malheureusement pour ceux qui sont déjà conquis par ce potentiel projet, la décision n’est pas du ressort de la comédienne : « Je ne peux rien faire pour ça, je ne suis pas aux manettes », dit-elle en riant.
Sylvie, l’autre vedette d’« Emily in Paris »
Considérée comme la star de l’ombre de la série par les fans, Sylvie vole parfois la vedette à Emily lors de ses apparitions. Philippine Leroy-Beaulieu admet cependant que jouer son personnage peut-être épuisant. « Pendant que je tourne, c’est compliqué, avoue-t-elle. Je la canalise d’une manière assez puissante et mes amis ne peuvent pas trop me voir à ce moment-là. Je deviens aussi snob et insupportable qu’elle. »
Dans la saison 4 d’Emily in Paris, la directrice de l’agence témoigne des violences sexuelles qu’elle a subies par le passé. Sylvie Grateau est une femme forte avec un caractère bien trempé et cette évolution scénaristique ne déplaît pas à son interprète. « Ce que je trouvais intéressant, c’est ce qu’elle dit sur le fait qu’elle a toujours refusé de se positionner en victime et qu’elle a essayé d’aller de l’avant. C’était très important d’en parler puisque la parole se libère », explique Philippine Leroy-Beaulieu.
Et pour ceux qui critiquent la série, la trouvant trop stéréotypée, l’actrice leur répond que « c’est le regard d’Emily dans la saison 1, le regard d’une Américaine qui arrive à Paris et qui voit les trucs évidents ». Une manière de faire qui pourrait être amusante si les rôles sont inversés et que la très parisienne Sylvie Grateau est envoyée aux États-Unis.
À voir également sur Le HuffPost :
La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous.
