Afida Turner veut représenter la France à l’Eurovision, avec une idée très précise en tête
PEOPLE – Et pourquoi pas moi ? C’est la question que pose la chanteuse Afida Turner au sujet d’une éventuelle participation à l’Eurovision sous les couleurs de la France. Car cette figure singulière de la musique française se dit prête à relever le défi.
C’est à l’occasion d’une interview accordée au Parisien ce lundi 12 mai pour annoncer la publication prochaine de la suite de ses mémoires que la chanteuse de 48 ans s’est payé le luxe d’imaginer à quoi ressemblerait sa prestation sur la scène de l’Eurovision. Après avoir adressé un tacle à la représentante actuelle de la France pour le concours 2025, Louane.
Car en découvrant que la France sera représentée cette année par la chanteuse de Je vole et Si t’étais là, Afida Turner lâche sans pression que la France « va perdre ». Avant d’ajouter avec son franc-parler habituel : « C’est moi qui devrais représenter la France ». Le plus fou, c’est que l’interprète d’Étienne et de la Barbichette song ne manque pas d’idées pour donner vie à cette candidature inattendue.
À commencer par le titre qu’elle souhaiterait interpréter : « J’aurais chanté une nouvelle chanson, “Make me say” ». Elle complète ce tableau avec une mise en scène qui aurait fait pâlir de jalousie Johnny Hallyday, puisqu’elle s’imagine sur scène « avec des guitares, en cuir, en arrivant sur une moto ». Avec ça « on aurait gagné », assure-t-elle. Mais la chanteuse est bien consciente que sa candidature n’intéressera sans doute pas la délégation française. « C’est dommage, personne ne m’invite pour faire un duo. Je dois leur faire peur (rires). Mais j’ai chanté avec Tina (Turner), c’est déjà ça, sur “Proud Mary” », ajoute-t-elle pour lancer cette discussion avec le quotidien.
« Où est cet argent ? »
Durant cette interview, Afida Turner révèle par ailleurs que son deuxième livre et suite de ses mémoires s’intitulera Cauchemar à Hollywood, attendu − elle l’espère − le 22 décembre prochain, jour de son anniversaire. L’occasion pour elle de couvrir la période allant de son arrivée à Los Angeles en 2003 jusqu’à aujourd’hui.
« Il s’en est passé des choses, des bonnes et des mauvaises ! Je suis arrivée sans papiers, sans parler anglais, j’ai rencontré Coolio, Mike Tyson, Ike Turner, Tina, Ronnie… Je vais raconter notre mariage, mon premier album, mon premier contrat, les succès de Etienne et Barbichette sans radio, sans maison de disques, toute seule », détaille dans cet entretien l’ancienne belle-fille de Tina Turner. Où elle en profite d’ailleurs pour « réclamer (s)on dû » après avoir été mariée pendant dix-sept ans au fils de la star internationale, qui lui aurait « mis quelque chose de côté » pour s’être occupé de Ronnie Turner et de son premier fils Craig Turner. « Depuis, je n’ai eu aucune nouvelle. Où est cet argent ? », s’interroge-t-elle finalement, saluant au passage le soutien d’un certain Cyril Hanouna pour lui permettre de rebondir à la télévision.
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