Divertissement

« Bonjour ! » perd le premier round face à « Télématin » pour sa rentrée

TÉLÉVISION – C’était l’une des nouveautés de TF1 de 2024 les plus attendues, et en tout cas l’une des plus teasées par la chaîne. Ce lundi 8 janvier, les téléspectateurs ont pu découvrir la toute première émission Bonjour ! entre 6h55 et 9h30. Au total, un peu plus d’un demi-million de personnes étaient devant leur écran, soit un peu plus de 15 % de part d’audience. C’est quatre fois plus qu’habituellement sur la même tranche horaire pour TF1. En comparaison néanmoins, Télématin sur France 2, diffusée parallèlement et animée par Thomas Sotto, a réuni 623.000 téléspectateurs, c’est-à-dire 19,6% de part d’audience sur le même public (4 ans et plus).

Le premier round est donc remporté par le service public. Télématin s’était d’ailleurs permis d’accueillir de manière originale la concurrence. Juste avant de lancer la première émission de l’année 2024, Marie Portolano et Thomas Sotto ont ouvert le numéro en saluant les téléspectateurs par un surprenant « Bonsoir !  », repris en chœur par les différents chroniqueurs présents en plateau. Ce lundi 9 janvier, pour sa première, la matinale de Bruce Toussaint, s’était justement intéressée à l’origine du mot « bonjour. »

TF1 avait précisé dans un communiqué que quotidiennement un invité politique et un invité culturel seraient présents aux côtés de Bruce Toussaint. Pour sa toute première, la production avait choisi Xavier Bertrand, président de la région Nord-Pas-de-Calais, et le chanteur Pascal Obispo dont la comédie musicale Les Dix Commandements repart en tournée. Ce mardi 9 janvier, Fabien Roussel et Josiane Balasko ont pris place à leur tour en plateau.

Bonjour ! n’est pas la première matinale de TF1. C’est une référence directe à la matinale présentée par Jean-Claude Bourret en 1984 Bonjour la France. Bruce Toussaint est encadré d’une bande de seize chroniqueurs qui vont se relayer chaque jour, parmi lesquels Christophe Beaugrand, Julien Arnaud, Karima Charni, Ange Noiret ou encore Laurent Mariotte.

À voir également sur Le HuffPost :