Voici les quatre menaces qui pèsent sur les JO et le relais de la flamme, selon Darmanin
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POLITIQUE – Aux grandes menaces, les grands moyens. Gérald Darmanin a assisté, ce lundi 18 mars, à une démonstration du dispositif de sécurité autour de la flamme olympique, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article. Environ 100 policiers et gendarmes formeront cette « bulle de sécurité » et devront assurer le bon déroulement du relais de la flamme entre Marseille et Paris.
Le ministre de l’Intérieur a aussi listé les « quatre types de menace » qui pèsent sur la flamme des Jeux olympiques. En premier lieu, une « menace terroriste, essentiellement islamique », a développé le locataire de la place Beauvau. À celle-ci s’ajoute « une menace d’opportunité ou de délinquance », liée à l’afflux de visiteurs. Il existera aussi « une menace moderne, technologique, cyber », incarnée notamment par le risque de voir des drones « chargés d’explosifs qui peuvent aller sur un public ».
Enfin, le ministre a mis en garde contre une « menace contestataire qui ne vise pas à tuer des personnes ou à les blesser mais à faire des revendications ». « Et là c’est l’écologie radicale, parmi d’autres mouvements contestataires, qui évidemment est la première menace », a-t-il précisé. « Ils ont déjà fait un certain nombre de communiqués ou de messages sur les réseaux sociaux pour dire qu’ils vont essayer d’éteindre la flamme. On voit même sur Internet des tutoriels pour voir comment on éteint la flamme », a-t-il assuré.
1 million d’euros pour la flamme
« Nous serons là pour empêcher qu’ils empêchent la fête », a insisté Gérald Darmanin. Le ministre de l’Intérieur prévoit un coût de sécurisation du parcours à hauteur d’un million d’euros. Le relais de la flamme olympique commencera à Marseille le 8 mai et se terminera Paris le jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux, le 26 juillet.
Au sein de la « bulle de sécurité », « 18 policiers et gendarmes en civil » assureront la « protection rapprochée » du relayeur. Une unité de force mobile, composée donc au total d’une centaine d’agents, placés à l’avant et à l’arrière du convoi, sera aussi chargée de lutter contre « toute forme de désordre public ». Le tout formera un imposant cortège de protection, comme vous pouvez le voir ci-dessous.
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