Carla Bruni explique que son cancer du sein n’est « pas du tout en rémission »

CANCER – La maladie fait toujours partie intégrante de sa vie. Carla Bruni avait révélé en octobre dernier qu’elle avait été diagnostiquée d’un cancer du sein en 2019. Depuis, elle s’est peu exprimée sur la maladie. Dans une interview au long cours avec le magazine Vanity Fair et publié ce mercredi 29 mai, elle a abordé le sujet. L’ancienne première dame a notamment révélé que près de cinq ans après le diagnostic, elle n’était pas en rémission.

Dans l’article publié ce mercredi 29 mai sur le site de Vanity Fair, Carla Bruni se confie sur de multiples sujets : la musique, la mode, son passage à l’Élysée avec Nicolas Sarkozy, mais aussi donc la maladie. « Le cancer ouvre de nouvelles portes. On entend quand même les balles siffler à son oreille ! Et après le premier choc passé, c’est pratiquement vivifiant, même si c’est douloureux, inquiétant et angoissant. C’est le cas par rapport aux médicaments que je dois prendre, étant donné que je ne suis pas du tout en rémission. »

Elle a ainsi révélé que la maladie était toujours présente. Carla Bruni a ensuite explicité les incidences que le traitement a sur sa vie de tous les jours : « Et un jour j’ai parlé à un ami coiffeur. Il m’a demandé pourquoi je ne déjeunais pas. Or le Tamoxifène provoque des prises de poids, ce que je n’ai jamais connu, d’où l’idée de diminuer mon nombre de repas.»

En mars 2024, elle avait expliqué au micro du podcast « Allez J’ose » qu’elle était censée prendre ce traitement d’hormonothérapie durant une période de cinq à sept ans. Elle avait également expliqué dans le podcast que son diagnostic précoce lui avait toutefois permis d’éviter de devoir faire une chimiothérapie et une mastectomie.

Au cours de son entretien avec Vanity Fair, Carla bruni s’est dite reconnaissante de n’avoir qu’un traitement quotidien à prendre. « Depuis, je bénis tous les matins le Tamoxifène. Je me dis : quelle merveille, j’ai ce médicament ! J’ai une petite fille de 12 ans : je veux pouvoir la voir grande, grande… »

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