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À Tahiti, la météo pour les premières épreuves de surf n’a rien à voir avec celle de Paris

JO DE PARIS – Soleil et ciel bleu. Aux antipodes de Paris et de sa pluie presque continue, la météo à Teahupo’o à Tahiti où ont débuté ce samedi 27 juillet les épreuves de surf des Jeux olympiques était idéale, avec des tubes de près de deux mètres.

« On va avoir de belles conditions, du bon vent et bonne une taille de vagues vers les deux mètres voir un peu plus sur les plus grosses de la journée », avait expliqué depuis le spot à l’AFP Justine Dupont, l’une des plus célèbres surfeuses de grosses vagues.

Comme vous pouvez le voir dans les images ci-dessous, l’épreuve a commencé sous un beau soleil faisant briller le lagon bleu et ses montagnes verdoyantes. L’interview à France télé du grand espoir français Kauli Vaast est aussi la preuve de ce beau temps.

La ministre déléguée chargée des Outre-mer Marie Guévenoux a également posté une photo depuis le centre opérationnel de commandement près du site de compétition, Teahupoo, ou un arc-en-ciel a fait son apparition. Et d’après les commentaires d’une journaliste, il faisait chaud sur place.

Le temps s’est un peu gâté au fil des heures et quelques nuages gris ont fini par faire leur apparition lorsque les femme se sont élancées à la mi-journée. Il n’a cependant pas plu, contrairement à Paris où se déroulent la majorité des compétitions.

Tempête à venir

L’épreuve de surf a commencé à 19 h 00 à Paris samedi, soit 7 h 00 du matin dimanche à Tahiti. Les meilleurs surfeurs de la planète se sont élancés sur les tubes translucides de la belle et redoutable « mâchoire de Hava’e ».

Le beau temps ne devrait cependant pas durer. À partir de lundi, « il y aura une tempête avec du mauvais temps », a précisé Justine Dupont, surfeuse de nombreux tubes mémorables à Teahupo’o et consultante pour France Télévisions lors de ces Jeux.

Quatre Français, deux hommes et deux femmes, sont engagés aux premiers tours de la compétition de surf, deuxième de l’histoire olympique après Tokyo. Parmi eux, les Tahitiens Kauli Vaast et Vahine Fierro, experts du spot, font office de favoris.

Ils devront tirer leur épingle du jeu face au gratin du surf mondial, composé notamment des Américains John John Florence et Carissa Moore et des Brésiliens Gabriel Medina et Tatiana Weston-Webb.

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