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La vasque olympique de retour aux Tuileries, voici où et comment l’admirer

JEUX PARALYMPIQUES – Vous l’avez manquée pour les Jeux olympiques ou vous voulez la revoir s’élever dans le ciel parisien ? La vasque olympique, conçue par le designer Mathieu Lehanneur, reprend son spectacle au cœur du jardin des Tuileries. Elle a été rallumée ce mercredi 28 août par cinq parasportifs français pour marquer l’ouverture des Jeux paralympiques de Paris.

« La vasque sera de nouveau éclairée lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques et, dès le 29 août, de 10 heures à 19 heures, il sera possible de venir admirer le chef-d’œuvre », a récemment annoncé Paris 2024.

Pour admirer au plus près l’anneau-flamme de 30 mètres de haut surmonté d’un ballon monumental, il faut réserver gratuitement un billet sur le site officiel https://lavasque.paris2024.org. Si l’événement affiche complet à l’heure où nous écrivons ces lignes, pas de panique : « De nouveaux créneaux seront proposés tous les jours » jusqu’à la fin des Jeux paralympiques le 7 septembre. Pour vivre ce moment en famille ou entre amis, la réservation permet l’accès au site à plusieurs accompagnants nommément désignés.

Si vous arrivez trop tard et qu’il n’y a plus de places disponibles, tout n’est pas perdu. En effet, la flamme, et surtout sa montgolfière, restent visibles de loin dans les jardins des Tuileries, même sans billet. N’hésitez donc pas à vous approcher : spectacle garanti.

Décollage au coucher du soleil

Par ailleurs, pour le décollage de la vasque chaque soir, pas besoin de billet puisque l’événement aura lieu après la fermeture du site à 19 heures. Durant toute la période des Jeux paralympiques, l’élévation aura lieu « au coucher du soleil ».

L’envol sera donc visible depuis les Tuileries, mais pas seulement : de nombreux lieux dans la capitale permettent d’observer la vasque. Parmi eux, le parvis de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, l’esplanade de la pyramide du Louvre ou les quais Voltaire et Anatole-France, sur la rive gauche de la Seine.

De près ou de loin, il y a donc plein de possibilités pour voir l’œuvre, créée par EDF sans combustible, uniquement à partir d’eau et de lumière.

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